Ras-les-paquerettes
Bon , c'était super d'avoir incarné le rang 81 pendant quelques jours; même si au bout d'un moment les "wahou! comment t'as fait?!?" (beh j'ai passé mes journées à dormir tiens) et les "mais dis pas que t'arrive pas à bosser; t'es 81 donc il peut rien t'arriver!" (oui, 81 c'est bien connu c'est le chiffre de la femme indestructible hein!)... y en a comment dire... MARRE.
Ce trimestre, peu de boulot, beaucoup de glande, et ça me fait mal au coeur (on va rester polie quand même...) de penser que je peux dire adieu au top 100 (top qui était être l'outil de ma vengeance sur le doublement et les sceptiques). Mais, dans l'immédiat, je m'attends plutôt à retrouver d'un instant à l'autre toutes mes crises d'angoisse, quand je vois le boulot que j'ai en retard et le peu de temps (5 semaines) jusqu'au concours. Parce que si vous me lisez depuis un moment (ou pas), vous savez que je travaille aussi vite qu'une tortue en plein sprint (le sarcasme, toujours cathartique)(et puis retour de l'amour des parenthèses, histoires de laisser s'exprimer mes multiples personnalités)(haha). Toujours est-il, donc, que je le sens fichtrement mal ce deuxième bout de concours. J'ai plus la harne, et peu de volonté; quand je glande et que je vois l'heure passer, je me dis "et alors?", et hop, je continue à me mettre dans une prise de retard pas possible. Je me collerai bien deux ou trois baffes si j'avais pas peur de me rendre encore moins opérationnelle.
Bilan ?
Dégoûtée d'avoir tellement travaillé au premier quad pour me casser la figure maintenant...